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Face à la contestation sans cesse croissante des habitants de Kaloum, quartier administratif et des affaires, le ministre en charge de l’Energie et de l’Hydraulique, Cheick Taliby Sylla, a finalement marqué une pause. Dans l’installation des compteurs à prépaiement dont les kaloumkas servaient de cobaye. Après avoir été pris en otage par les populations surexcitées hier alors qu’il rendait une visite inopinée à l’agence d’Electricité de Guinée (EDG) à Kaloum, le ministre Sylla a finalement abdiqué. Pour suspendre la pose des compteurs alors que cette visite devrait aboutir au lancement officiel des travaux de pose de ces appareils. Il semble finalement d’accord avec les compatriotes qui estiment que cette nouvelle méthode de facturation de l’électricité les étranglait financièrement. L’Administrateur général d’Electricité de Guinée (EDG), Augustin Lovichi et le représentant de la Banque Mondiale en Guinée, Yussuf Uwamahoro, ont été des témoins oculaires le mercredi 3 février sur les installations d’EDG dans le quartier Sandervalia, à Kaloum.
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Le ministre de l’Energie et de l’hydraulique, Cheick Talibi Sylla est pris en otage cet après-midi à Kaloum par les habitants du quartier Sandervalia. Le ministre serait empêché de sortir du siège central d’Electricité de Guinée (EDG) situé au cœur du pouvoir de Conakry. Où serait venu rendre visite ce mercredi 03 février. Selon nos informations, les kaloumkas ont encore du mal à accepter les compteurs à prépaiements que la nouvelle direction de la Guinéenne de l’électricité (EDG) a installés dans leurs foyers.
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Universités privées : Pourquoi la grève a-t-elle été reportée?
Pour protester contre le non-paiement par l'État des frais d'études des boursiers guinéens dans les institutions d’enseignements supérieurs privés, le bureau de la Chambre représentative de l’enseignement supérieur privé (Cresup) a déposé un préavis de grève générale pour le 30 janvier, avant de finalement reporter son mot d’ordre au 15 février. Ce sont 40 000 étudiants et de 6 000 employés qui sont directement menacés de disparaitre.
Par cette grève, le Cresup tente de contraindre l’État guinéen de régulariser les redevances de l’année universitaire 2013-2014. Des redevances, Selon Souleymane Sylla, fondateur de l’université UNIC à Conakry et membre du Cresup, dont le montant total s’élève à 104 milliards GNF (plus de 12 millions d’euros).
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