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Écologie-Santé

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C’est un communiqué qui vient une fois de plus illustrer la nécessaire prudence à propos des annonces concernant la fin de l’épidémie sans précédent de virus Ebola. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a confirmé, vendredi 15 janvier, la présence d’un nouveau cas en Sierra Leone.

La veille, l’institution avait annoncé l’arrêt de la transmission de cette fièvre hémorragique au Liberia, le dernier pays où un cas avait été détecté en novembre.

Des responsables sanitaires sierra-léonais, des membres de l’OMS et des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont été dépêchés jeudi pour conduire des investigations « poussées » sur ce nouveau cas suspect dans la ville de Magburaka, dans le district de Tonkolili.

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Etienne Ouamouno est un père inconsolable. Son fils Emile est le « patient zéro » d’Ebola, la première victime de la terrible épidémie qui s’est déclarée à Guéckédou et a fait des ravages dans le pays pendant près de deux ans. Etienne vit toujours dans le village de Méliandou, où il ne lui reste plus que des souvenirs de sa famille, surtout ceux de son fils Emile.

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Par Mohamed Saidou Diallo, assistant en communication, UNICEF

Conakry, 08 janvier 2016 - Sœur Francine vit à Guéckédou Centre, elle est membre de la congrégation des petites sœurs de Notre Dame de Guinée et exerce au dispensaire de la congrégation. Son rôle d’agent de santé l’a placée en première ligne de la lutte contre l’épidémie d’Ebola qui est apparue dans la préfecture du jour au lendemain et s’est propagée rapidement à travers le pays.

« Au début de la maladie, tout était confus. Certains parlaient de la fièvre Lassa, d’autres parlaient de choléra, beaucoup de personnes pensaient qu’il s’agissait d’une maladie causée par de l’eau de forage polluée. Pour d’autres encore, c’était une punition divine ou une histoire de démons. Il a été très difficile pour la communauté d’accepter la réalité de la maladie à virus Ebola.

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Du 30 décembre 2015 au 19 janvier 2016, l’UNICEF publie une série de 21 témoignages de personnes guéries d’Ebola et ayant combattu l’épidémie en première ligne, à travers la Guinée, le Libéria et la Sierra Leone.

9.    «Nous avons suivi une formation sur la prévention d’Ebola et nous avons obtenu beaucoup d’informations différentes de ce que disaient les gens ici. Après la formation, nous avons fait du porte-à-porte pour expliquer aux gens comment se protéger. C’était difficile. Beaucoup de personnes n’ont jamais accepté notre message et ça me frustrait. Notre superviseur nous a toujours encouragés et c‘est ce qui me motivait à toujours aller parler à plus de personnes, pour que plus de vies soient sauvées.» (Jessica Neufville, 17 ans, élève et membre du groupe de jeunes ''West Point A-LIFE''. Monrovia, Libéria)  (9/21)

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Du 30 décembre 2015 au 19 janvier 2016, l’UNICEF publie une série de 21 témoignages de personnes guéries d’Ebola et ayant combattu l’épidémie en première ligne, à travers la Guinée, le Libéria et la Sierra Leone.

 

1.    « Après la mort de ma sœur, la plupart des gens refusaient d’accepter qu’elle était décédée d’#Ebola. Beaucoup de gens ne sont pas allés à l’école ici donc c’était difficile pour eux d’accepter l’existence d’Ebola. Comme je suis le seul qui a été à l’école, je devais expliquer la situation à la famille pour qu’ils l’acceptent. Si je n’avais pas pu convaincre ma famille, beaucoup de personnes allaient mourir et ça allait être un désastre. Dès le moment qu’un membre de ma famille a été atteint, j’ai alors su que c’était vrai. Je n’y croyais pas au début, mais quand c’est arrivé à ma famille, parce que je suis instruit, je savais que c’était la réalité. » (Ismael Koulibaly, mobilisateur social, Conakry, Guinée)  

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