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En créant sa propre marque, Mamadou Dian Diallo, Guinéen installé dans l’Hexagone, se lance à la conquête du continent avec un produit phare du savoir-faire français.
Et si ces fêtes de fin d’année étaient marquées par un champagne au nom… africain ? C’est le pari de Mamadou Dian Diallo, un Guinéen installé en Champagne. A 40 ans, cet ancien représentant de la société Moët Hennessy a lancé sa propre gamme. Son atout : la dizaine d’années qu’il a passée au sein de grandes marques de champagne lui a permis de comprendre ce que la clientèle africaine appréciait dans ce vin pétillant.
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La République Togolaise et la République du Congo ont participé à la Foire Internationale du Tourisme (FITUR) qui s’est tenu du 20 au 24 janvier 2016 à Madrid, à l’invitation de Pefaco Hoteles, filiale d’hôtellerie de luxe de Grupo Pefaco.
Ces partenariats ont permis notamment aux deux Etats africains de bénéficier d’une large promotion de leurs services touristiques pendant l’évènement, durant lequel la capitale de l'Espagne devient le centre mondial du tourisme. Auprès de 9.500 entreprises issues de 175 régions et pays du monde, les représentants du Togo et du Congo ont pu mettre en œuvre une vaste campagne de promotion des infrastructures d’accueil existantes, des espaces naturels du bord de mer et de l’intérieur, tout en évoquant les projets en cours.
Le besoin d’information des voyagistes, des tours opérateurs, des compagnies aériennes et des consommateurs du monde entier s’est révélé très fort: préservés et authentiques, ouverts et bien équipés, le Togo et le Congo-Brazzaville sont des destinations de plus en plus prisées sur le marché international du tourisme, ainsi qu’en atteste la croissance du secteur dans les deux pays.
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En 2014, la croissance économique est plus faible que prévue, estimée à 0.6 % (contre un objectif initial de 4.5 %), en raison de l’épidémie d’Ebola.
Malgré la mise en place, en janvier 2014, du nouveau Parlement qui marque la fin de la transition, les tensions politiques persistent.
Le coût social de la stabilisation macroéconomique s’est aggravé avec Ebola, qui a dégradé les conditions de vie des populations les plus vulnérables et réduit davantage les chances d’atteindre les Objectifs du Millénaire pour le développement.
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