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Le nouveau président élu se rendra à Paris samedi pour la réouverture de la cathédrale Notre-Dame. Il s’était déjà rendu dans la capitale française en 2017 et n’avait pas manqué de choquer Brigitte Macron.
A l’époque, l’homme d’affaires républicain était venu deux jours en France, aux côtés de son épouse Melania. Pour l’occasion, il avait assisté au défilé du 14 juillet sur les Champs-Elysées et avait visité les Invalides.
Lors de ce déplacement, il s’était rapproché de la Première dame et l’avait “complimentée” : "Vous êtes en si bonne forme physique" ("You’re such in good shape"). Et s’était tourné vers Emmanuel Macron pour ajouter : "Très belle".
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Tout un symbole. Le président Joe Biden entame une visite de trois jours en Angola à compter de ce lundi 2 décembre. Ce déplacement tant annoncé et maintes fois reporté se voulait symbolique et stratégique. Il s'agit de la première visite d'un président américain en Afrique depuis celle de Barack Obama en 2015, Donald Trump n'ayant pas effectué de déplacement sur le continent durant son mandat. Et pourtant, à quelques semaines de la fin de son mandat, il suscite de vives interrogations. En effet, la visite du dirigeant américain intervient dans un contexte où les relations entre les États-Unis et l'Afrique restent marquées par des promesses ambitieuses mais rarement suivies d'actes concrets depuis l'administration Obama, mettant en lumière les failles structurelles de la politique américaine sur le continent. Il s'agit de la première visite d'un président américain en Afrique depuis celle de Barack Obama en 2015, Donald Trump n'ayant pas effectué de déplacement sur le continent durant son mandat.
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Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán pourrait être l'émissaire de Donald Trump pour une nouvelle "mission de paix" en Ukraine dès le mois de décembre
Selon le média Szabad Europza, après l'élection du 5 novembre, Trump et Orbán ont eu plusieurs conversations téléphoniques.
Seul le premier appel était protocolaire. Les autres, dont le dernier a eu lieu la semaine dernière, ont été consacrés à des questions spécifiques.
Ouvertement pro Poutine, Viktor Orban apparait comme un choix pour le moins étrange pour négocier.
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