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Les États-Unis sont en état d’alerte accrue après que l’Iran a juré de venger la mort de ses généraux tués lors d’une frappe aérienne américaine en Irak et qui a tué un grand général iranien. Les USA craignent que les cellules dormantes du Hezbollah soient prêtes à attaquer dans les grandes villes.
Le meurtre du général Qassem Soleimani, chef de la force d’élite iranienne Quds, vendredi, marque une escalade majeure de l’impasse entre les États-Unis et l’Iran.
Les grandes villes, y compris New York et Los Angeles, ont déjà déclaré qu’elles renforçaient la sécurité au lendemain des frappes aériennes pour empêcher toute attaque de vengeance.
Cela survient dans la crainte que le groupe militant du Hezbollah soutenu par l’Iran, qui a été désigné par le gouvernement américain comme une organisation terroriste étrangère, puisse avoir des cellules dormantes aux États-Unis qui soient prêtes à riposter.
L’ancien officier des opérations de la CIA, Sam Faddis, a averti que des cellules dormantes du Hezbollah se cachaient aux États-Unis et avaient potentiellement des cibles en vue.
Add a commentLe président ivoirien, Alassane Ouattara, a promis mardi "une année électorale paisible" en 2020, année de la prochaine présidentielle en Côte d'Ivoire. Ses deux opposants, Henri Konan Bédié et Guillaume Soro, ont répondu avec leurs propres messages de vœux dénonçant des atteintes à la démocratie.
Comme un air de campagne électorale avant l'heure… Mardi 31 décembre, le président de la Côte d'Ivoire Alassane Ouattara, l'ex-président Henri Konan Bédié et l'ex-président de l'Assemblée nationale Guillaume Soro, ont lancé quasi simultanément sur les ondes et sur Internet leurs allocutions du Nouvel an.
Alassane Ouattara a promis "une année électorale paisible" en 2020, année de la prochaine présidentielle, tandis que ses deux opposants ont dénoncé les atteintes du régime à la démocratie.
Dans sa traditionnelle allocution diffusée sur la télévision publique à 20 h (locales et GMT), le président Ouattara s'est en effet voulu rassurant, alors que la vie politique est déjà tendue à dix mois de la présidentielle prévue en octobre, dix ans après la terrible crise post-électorale qui fit 3 000 morts.
"2020 sera une année électorale paisible, je vous en fais la promesse", a-t-il affirmé, exhortant "tous les acteurs de la vie politique ivoirienne à faire preuve de responsabilité en préservant la paix".
Add a commentLire la suite : Côte d'Ivoire : Alassane Ouattara fait la promesse d'une "année électorale paisible"
L'ancien général et ex-Premier ministre Umaro Sissoco Embalo a été élu dimanche président de la Guinée-Bissau avec 53,55 % des voix face à son rival Domingos Simões Pereira. Ce dernier conteste les résultats et dénonce une "fraude électorale".
La Commission électorale nationale a proclamé, mercredi 1er janvier, la victoire du candidat du parti d'opposition Madem, Umaro Sissoco Embalo, à la présidence de la Guinée-Bissau. L'ancien Premier ministre a été élu à la tête de ce petit pays d'Afrique de l'Ouest à l'histoire tumultueuse en remportant 53,55 % des voix au second tour de la présidentielle lors du scrutin du 29 décembre.
Son adversaire, ancien Premier ministre lui aussi, et chef du plus grand parti du pays, le PAIGC, Domingos Simões Pereira, a remporté 46,45 % des voix, mais conteste sa défaite. Il s'est dit, mercredi 1er janvier, victime de "fraude électorale" et a annoncé qu'il comptait porter l'affaire devant la Cour suprême du pays.
"Je déclare qu'Umaro Sissoco Embalo est le vainqueur de ce second tour", a dit le président de la CNE, José Pedro Sambu, qui s'exprimait dans un hôtel de la capitale, Bissau, placé sous très haute protection.
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