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C’est décidément l’ère de la valorisation du textile guinéen ! La structure Bimak Communication, était face à la presse vendredi dernier dans l’enceinte de la boite de nuit ‘’224 Louange’’ à Nongo dans la commune de Ratoma, pour annoncer les couleurs de la «Nuit de LEPI’’. Une soirée prévue le 29 juin 2019, au même endroit, pour la valorisation du textile guinéen.
A cette occasion, les organisateurs ont lancé un appel aux vendeurs de ‘’LEPI’’, leur demandant de baisser le prix au marché pour la bonne réussite de cette soirée, «pour que tout le monde soit en LEPI le 29 juin».
Add a commentPour la 6ème année, la poésie va s’afficher sur les murs du CCFG. C’est une sorte de cadeau que les Éditions Ganndal et le CCFG offrent aux poètes : un mur d’expression poétique.
Le mur est un défi ! Un mur d’escalade en haut duquel on veut grimper et si possible être le premier ! Pour ceux qui participent au concours de poésie. Mais c’est aussi un outil de promotion : les poètes peuvent y être affichés librement, en français ou dans leur langue maternelle si elle est guinéenne.
Le Musée pour la conservation et la valorisation du balafon «Sosobala» a été inauguré, par anticipation, jeudi, 30 août 2018 dernier, à Niagassola dans la préfecture de Siguiri en Haute Guinée, sous la présidence du ministre des Sports, de la Culture et du Patrimoine Historique (SCPH), Sanoussy Bantama Sow, a suivi le correspondant de l’AGP dans la localité.
«Pour un coût total de 14 milliards de francs guinéens, cet édifice est un geste du gouvernement guinéen qui s’inscrit en droit ligne d’un ambitieux projet, dont l’objectif est de faire Niagassola une destination touristique à dimension internationale», a-t-on indiqué.
Add a commentLa grande Mosquée du district de Bigori dans la sous- préfecture de Mankountan, préfecture de Boffa, en chantier depuis 2003, reste toujours inachevée, a constaté le correspondant de l’AGP dans la localité.
Cette Maison de Dieu, en R+1, avait été mis en chantier grâce à la contribution volontaire de la communauté musulmane de Bigori, mais par manque de moyen, dit-on, Cela fait 15 ans aujourd’hui, jour pour jour, que les travaux sont arrêtés.
Les musulmans de cette localité rencontrent ainsi des difficultés dans l'accomplissement de leurs obligations religieuses, surtout pendant les saisons hivernales.
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