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Le chef de famille, Jacob, sa femme et ses deux (02) enfants ont été découverts morts, lundi matin, 20 juin 2016, dans leur maison au quartier Sangoyah 1ère Porte, dans la commune de Matoto, à Conakry, a constaté l’AGP.
Les victimes seraient mortes d’une asphyxie à domicile. Une tragédie qui s’est produite dans la nuit du samedi, 18 juin à dimanche, 19 juin 2016.
Selon un proche de la famille, M. Pierre que nous avons joint au téléphone, «une fumée est à l’origine de ce drame. Ils ont allumé le groupe électrogène dans la cuisine et ils ont fermé la porte, la fumée a envahi la maison. C’est ce qui les ont asphyxiés», a expliqué Pierre.
Add a commentUn homme a tué une femme enceinte à l’aide d’une hanche, samedi, 18 juin 2016, au quartier Bignamou 1 dans la Commune Urbaine (CU) de Lola, rapporte le correspondant de l’AGP dans la préfecture.
Il s’agit de Kono Gbana, âgé d’une vingtaine d’années, mentalement touché, bien connu de tous les habitants du quartier Bignamou 1.
Ce samedi, celui-ci entré à la maison, a trouvé dame Elène Kouhara, en train de faire la cuisine.
Selon les témoignages reçus sur le terrain, Kono Gbana s’est adressé à la dame en lui disant qu’il avait faim. En réponse, celle-ci lui a demandé d’attendre la fin de la cuisson de la sauce puisque le riz était déjà cuit.
Add a commentAprès les tristes et douloureux événements du 28 septembre, au cours desquels l'élimination physique planifiée des principaux leaders présents a échoué, il fallait désormais varier et diversifier aussi bien les stratégies que les cibles. C'est ainsi qu'un guet-apens fut monté à l'encontre du très bouillant Président de la Transition, le Capitaine Moussa Dadis Camara en l'occurrence.
Pour mettre à exécution leur plan machiavélique, les instigateurs, qui voulaient en finir avec le patron de la junte militaire, identifieront, trouveront et motiveront un bouc-émissaire dans l'entourage immédiat de Dadis Camara. Il s'agit bel et bien de son Aide de Camp d'alors qui n'était autre que le Commandant Aboubacar Toumba Diakité. Le marché est conclu, le montant fixé à dix milliards de nos francs glissants et un premier bailleur trouvé. Mais ledit bailleur de l'opération à été naturellement entraîné par sa volonté d'éliminer physiquement Dadis, afin de freiner celui-ci dans ses velléités de témoignages accablants devant les enquêteurs de la Cour Pénale Internationale dans le sulfureux dossier du 28 septembre, notamment dans le volet afférent aux camions qui ont servi au transport clandestin vers une destination inconnue et à l'ensevelissement dans une fosse commune des corps des 168 portés-disparus de ce massacre.